Ensemble, augmentons le nombre de logements sociaux à Montréal.
L’itinérance ne résulte pas d’un choix à moins que la situation évitée soit considérée bien plus grave. C’est une expérience généralement négative, stressante et pénible.
L’itinérance résulte d’obstacles systémiques et sociétaux, d’un manque de logements abordables et adéquats, et/ou de défis financiers, mentaux, cognitifs, de comportement ou physiques de l’individu ou de la famille (Définition Canadienne de l’itinérance).
Plus globalement, le mal-logement est l’expression de plusieurs problématiques liées au développement économique divergent du développement social. Parmi ces maux, la pauvreté, relative au coût de la vie, les dépendances et la santé mentale sont généralement des facteurs menant à un risque d’itinérance, chronique ou épisodique.