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A word from our director

Vilavi > A word from our director

Par Bruno Ferrari, Directeur Général

An other challenging year!

2024 has been chaotic. We are alive, but we have been shaken so much that it is difficult to look into the distance, as if a persistent seasickness had set in... While our organization has certainly performed and contributed to social development as its mission demands, the environment continues to generate more pitfalls than favorable conditions.

This report, however, focuses on the results that should be celebrated. These results represent the sum of the constant efforts of a team mobilized to help the most vulnerable people.

We can be proud of the work we've accomplished. In every one of Vilavi's programs and projects, the impact on people and communities is clear to see. Both in terms of the number of people reached, which has grown steadily over the years, and in terms of quality, an extremely complex and volatile organizational dimension.

It was also during 2024 that our organization had to adapt to a profound and unexpected change. It was in March that our Deputy General Manager, Salina Kassam-Ferrari, was diagnosed with cancer, a diagnosis that fell like a sword on our teams. After undergoing a series of tests that only confirmed the impasse of the disease, Salina withdrew from the workplace during the summer, leaving an abysmal void where her radiant energy had shone unceasingly for over 20 years. For the Vilavi teams, Salina was without doubt the most inspiring person we ever met. Her boundless commitment enlightened us, and her experience in all the Vilavi businesses enabled her to guide the day-to-day management of operations with rigor, while passing on the fundamentals of the modalities of intervention.

So it's with courage and gratitude that our managers have taken on new responsibilities in the course of their duties.

A number of improvements have been implemented and others are still necessary, but it is clear from this difficult period that adherence to the vision of quality hammered out over all these years by Salina is understood, metabolized and visible in the daily actions of our workers, resulting in an occupancy rate for our facilities close to 90% and a historically high rate of adherence to our programs.
Salina est décédée le 11 janvier 2025 aux petites heures du matin. Pour honorer sa mémoire, nous invitons les personnes intéressées à contribuer au fonds « Salina pour le travail bien fait » qui sera dédié à perpétuer sa merveilleuse vision de la qualité : https://Salina-pour-le-travail-bien-fait. Les contributeurs et contributrices recevront un suivi des projets qui seront réalisés au fil du temps.

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Bruno Ferrari, General Director

Merci à toutes nos équipes qui animent nos milieux de vie 24/7/365!

Vilavi

7 days ago

Vilavi
Une réflexion sur la situation que nous vivons collectivement.À lire absolument! Merci Mme Marceau.www.facebook.com/share/1Bn4ZhKSMu/?mibextid=wwXIfrMONTRÉAL : À QUEL MOMENT AVONS-NOUS DÉCIDÉ QU'UNE TENTE IMPROVISÉE DÉRANGEAIT PLUS QUE L'INJUSTICE QUI L'A RENDUE NÉCESSAIRE? Je reviens de quatre jours à Montréal pour le travail. J’aime cette ville. J’y ai habité pendant des années avant de revenir vivre à Québec, ma ville natale, pour un beau mandat à la télévision nationale. Mais sur le chemin du retour, ce ne sont pas les gratte-ciel, les cafés ou les souvenirs qui m’accompagnent. Ce sont les visages.Les visages de ces hommes et de ces femmes sans domicile, croisés au hasard des rues, qui hantent ma conscience. J’ai le privilège de travailler dans plusieurs pays, dans ce qu’on appelle encore le tiers-monde ou le second monde. Et pourtant, la souffrance humaine que je vois de plus en plus à Montréal dépasse parfois ce que j’observe là-bas.Ici, chez nous, tant d’hommes et de femmes – nos concitoyens – manifestement aux prises avec des troubles de santé mentale ou de consommation, errent seuls, sans ressources, dans une souffrance nue, brute, presque insoutenable à regarder en face. Comment en sommes-nous arrivés là?À quel moment avons-nous commencé à trouver « normal » de détourner le regard? Les inégalités se creusent comme des fissures dans le trottoir.Les plus riches accumulent à un point tel qu’ils ne savent plus quoi faire de leurs excès, pendant que d’autres ne savent même plus où dormir. Et nous, collectivement, semblons perdre jusque dans nos réflexes la dignité de prendre soin des plus vulnérables d’entre nous. À défaut de transformer du jour au lendemain ce système capitaliste de performance et de triomphe, qui broie lentement notre humanité, ne pourrions-nous pas au moins retrouver un minimum de compassion?Un regard qui ne juge pas.Une main qui ne repousse pas.Un cœur qui ne se referme pas par fatigue ou par habitude. Aujourd’hui, j’ai lu dans La Presse que des employés municipaux, au volant de camions et de pelleteuses, ont détruit sans préavis un campement d’itinérants, lundi soir, à Montréal-Nord.André, un sans-abri, disait : « J’aurais pu être couché dans ma tente quand c’est arrivé. »L’arrondissement parle d’une « situation malheureuse » et promet d’enquêter. (lien en commentaires) Mais au-delà des mots officiels, il y a des vies. Il y a des êtres humains. Détruire le peu que possède quelqu’un qui n’a déjà plus rien, n’est-ce pas nous détruire un peu nous-mêmes?À quel moment avons-nous décidé qu’une tente improvisée dérangeait plus que l’injustice qui l’a rendue nécessaire? Chers employés municipaux, chers décideurs, chers concitoyens :Un jour, lorsque vos propres conditions de travail, de vie, de santé se dégraderont à cause de la situation économique, lorsque vous irez revendiquer plus de respect, plus de dignité, repensez à ces personnes dont vous avez balayé l’existence comme on balaie des débris. Demandez-vous :Comment me sentirais-je si l’on traitait mon abri, ma dernière protection, comme un simple obstacle à dégager?Où se situe la frontière entre « eux » et « nous », entre « les itinérants » et « les citoyens »?Et surtout : à partir de quel moment cessons-nous de mériter la compassion? La question que Montréal nous pose aujourd’hui, à tous, est peut-être celle-ci :Que reste-t-il de notre humanité quand on s’habitue à la souffrance de l’autre au point de la considérer comme un décor de fond? Ce n’est pas seulement une crise sociale.C’est une crise de conscience.La nôtre.#montreal#inegalites#dignite#itinerance#colsbleus#gouvernementduquebec#francoislegault#solidarite#CSN#FTQ# ... See MoreSee Less

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