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Information on homelessness

Vilavi > Information on homelessness

Definition

Homeless persons are those with no fixed place of residence, stable and safe housing for the next 60 days, low income, with drug addiction issues and a disorganised social life or mental health or without a stable group to belong to. Laberge et al. 1995 : 4 ; Comité des sans-abri de Montréal, 1987 ; MSSS, 1992

Risk factors for homelessness are in addition to precarious housing situations and drug addiction, institutional misbehaviour (dropping out, running away, leaving youth centers, detention, etc.), mental health issues or criminal behavior.

Canadian definition of homelessness
Homelessness describes the situation of an individual or of a household that does not have access to adequate, stable and permanent housing, or who does not have the immediate possibility of obtaining one.
It is a situation that isn't a choice (unless the situation avoided is considered to be much more serious) and generally a negative, stressful and painful experience.

Read the short version (PDF)
Click here to learn more about the origins of the definition

« Non seulement l’itinérance engendre-t’elle souvent une détérioration marquée de l’état de santé des personnes qui la vivent, mais les problèmes de santé physique et mentale figurent également parmi les multiples causes de l’itinérance. Santé et itinérance sont  inscrites dans une double dynamique » (Rapsim)


Role of social housing

« Au Québec, 55 000 logements sont détenus ou administrés par plus de 1 200 organismes. Ces logements, répartis à travers environ 2 600 ensembles immobiliers ou projets, représentent une composante capitale de l’offre de logement social au Québec. La vocation sociale de ces organismes en fait un ensemble incontournable non seulement en matière de logement abordable, mais aussi en matière de lutte à la pauvreté. Une proportion non-négligeable de ces organismes offre par ailleurs des services essentiels, tels que du soutien communautaire, effectue de l’accompagnement dans le cadre de la lutte à l’itinérance, assure la majorité des services pour les femmes victimes de violence, offre des services d’assistance personnelle ou des soins de santé, etc. » (RQOH, Enquête sur les caractéristiques économiques des OSBL d’habitation, 2021 – Voir le document complet)

Afin de contribuer à la mise en œuvre de solutions adaptées aux besoins des personnes en situation d’itinérance épisodique ou chronique ou ayant de la difficulté à se loger dans le marché privé de la région de Montréal, Vilavi a développé une offre spécifique en matière de logement avec support communautaire.

En novembre 2007 une charte Québécoise a été créée afin de développer d’une manière plus spécifique cet aspect de son travail. Vilavi Québec a été incorporé le 11 janvier 2008 sous l’article de la Loi sur les compagnies du Québec, Partie III (L.R.Q., chap. C-38, art. 218) (NEQ : 1164893662).

Vilavi Québec est une société sans but pécuniaire ou lucratif pour ses membres, créée dans un but de bienfaisance qui a comme objectifs :

  • Offrir en location des unités résidentielles à des personnes à revenu faible et modeste le tout ne pouvant constituer un établissement au sens de la loi sur les services de santé et de services sociaux;
  • Construire, acquérir et gérer des immeubles sans intention de gains pécuniaires pour ses membres et ce, dans le but d’améliorer les conditions de logement des résidents démunis ayant terminé un cheminement thérapeutique et ayant besoin d’un lieu d’habitation avec soutien communautaire pour faciliter leur réinsertion;
  • Mettre en œuvre des actions et des programmes visant à contribuer à l’autonomie des personnes et au progrès social;

À ce jour, Vilavi Québec administre 105 unités de logements sociaux avec support communautaire au centre-ville de Montréal. Deux projets sont en phase de réalisation en collaboration avec la Ville de Montréal et la Société d’Habitation du Québec.

Pour réaliser ces projets, Vilavi fait appel aux partenaires suivants : Atelier Habitation Montréal (Groupe de ressources techniques, OSBL, chargé de la conception), La Société d’Habitation du Québec (Organisme public en charge des garanties bancaires et des subventions), Le Centre Intégré Universitaire de Santé et de Services Sociaux du Centre-Sud de l’Île-de-Montréal (Financement du support communautaire), la Ville de Montréal et les arrondissements de Ville-Marie et Hochelaga Maisonneuve, la Caisse d’économie solidaire et la Banque Nationale (partenaires privés de financement), l’Office Municipal d’Habitation de Montréal (Organisme public, partenaire d’exploitation).

Le partenariat naturel avec le réseau d’organismes communautaire permet de réaliser les activités de recrutement.

Les locataires sont invités à s’engager dans la vie communautaire en fonction de leurs compétences et de leurs ambitions. Les activités varient selon les saisons. La participation des locataires soutient leur sentiment d’appartenance et contribue à l’amélioration des conditions des immeubles, favorisant ainsi le confort et la qualité de vie.


Définition du Soutien Communautaire en Logement Social et communautaire (SCLSC)

Extrait du Cadre de référence sur le soutien communautaire en logement social et communautaire (Gouvernement du Québec, 2022)

« Le soutien communautaire recouvre un ensemble d’actions qui peuvent aller de l’accueil à la référence, en passant par l’accompagnement auprès de services publics, la gestion des conflits entre locataires, l’intervention en situation de crise, la gestion du bail, du soutien ponctuel, le soutien au comité de locataires et aux autres comités et l’organisation d’activités communautaires. En fait, la notion de soutien communautaire désigne « […] ce qui relève de l’accompagnement social des individus et/ou des groupes. »

Vilavi

7 days ago

Vilavi
Une réflexion sur la situation que nous vivons collectivement.À lire absolument! Merci Mme Marceau.www.facebook.com/share/1Bn4ZhKSMu/?mibextid=wwXIfrMONTRÉAL : À QUEL MOMENT AVONS-NOUS DÉCIDÉ QU'UNE TENTE IMPROVISÉE DÉRANGEAIT PLUS QUE L'INJUSTICE QUI L'A RENDUE NÉCESSAIRE? Je reviens de quatre jours à Montréal pour le travail. J’aime cette ville. J’y ai habité pendant des années avant de revenir vivre à Québec, ma ville natale, pour un beau mandat à la télévision nationale. Mais sur le chemin du retour, ce ne sont pas les gratte-ciel, les cafés ou les souvenirs qui m’accompagnent. Ce sont les visages.Les visages de ces hommes et de ces femmes sans domicile, croisés au hasard des rues, qui hantent ma conscience. J’ai le privilège de travailler dans plusieurs pays, dans ce qu’on appelle encore le tiers-monde ou le second monde. Et pourtant, la souffrance humaine que je vois de plus en plus à Montréal dépasse parfois ce que j’observe là-bas.Ici, chez nous, tant d’hommes et de femmes – nos concitoyens – manifestement aux prises avec des troubles de santé mentale ou de consommation, errent seuls, sans ressources, dans une souffrance nue, brute, presque insoutenable à regarder en face. Comment en sommes-nous arrivés là?À quel moment avons-nous commencé à trouver « normal » de détourner le regard? Les inégalités se creusent comme des fissures dans le trottoir.Les plus riches accumulent à un point tel qu’ils ne savent plus quoi faire de leurs excès, pendant que d’autres ne savent même plus où dormir. Et nous, collectivement, semblons perdre jusque dans nos réflexes la dignité de prendre soin des plus vulnérables d’entre nous. À défaut de transformer du jour au lendemain ce système capitaliste de performance et de triomphe, qui broie lentement notre humanité, ne pourrions-nous pas au moins retrouver un minimum de compassion?Un regard qui ne juge pas.Une main qui ne repousse pas.Un cœur qui ne se referme pas par fatigue ou par habitude. Aujourd’hui, j’ai lu dans La Presse que des employés municipaux, au volant de camions et de pelleteuses, ont détruit sans préavis un campement d’itinérants, lundi soir, à Montréal-Nord.André, un sans-abri, disait : « J’aurais pu être couché dans ma tente quand c’est arrivé. »L’arrondissement parle d’une « situation malheureuse » et promet d’enquêter. (lien en commentaires) Mais au-delà des mots officiels, il y a des vies. Il y a des êtres humains. Détruire le peu que possède quelqu’un qui n’a déjà plus rien, n’est-ce pas nous détruire un peu nous-mêmes?À quel moment avons-nous décidé qu’une tente improvisée dérangeait plus que l’injustice qui l’a rendue nécessaire? Chers employés municipaux, chers décideurs, chers concitoyens :Un jour, lorsque vos propres conditions de travail, de vie, de santé se dégraderont à cause de la situation économique, lorsque vous irez revendiquer plus de respect, plus de dignité, repensez à ces personnes dont vous avez balayé l’existence comme on balaie des débris. Demandez-vous :Comment me sentirais-je si l’on traitait mon abri, ma dernière protection, comme un simple obstacle à dégager?Où se situe la frontière entre « eux » et « nous », entre « les itinérants » et « les citoyens »?Et surtout : à partir de quel moment cessons-nous de mériter la compassion? La question que Montréal nous pose aujourd’hui, à tous, est peut-être celle-ci :Que reste-t-il de notre humanité quand on s’habitue à la souffrance de l’autre au point de la considérer comme un décor de fond? Ce n’est pas seulement une crise sociale.C’est une crise de conscience.La nôtre.#montreal#inegalites#dignite#itinerance#colsbleus#gouvernementduquebec#francoislegault#solidarite#CSN#FTQ# ... See MoreSee Less

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